La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Découverte tardive consécutive à mes problèmes de connexion internet dans un contexte dominical pas plus favorable. L’amputation d’un intense partage au profit d’un monde dans lequel ça se ballade est une souffrance intime indescriptible qui diminue la couleur . Pas tes mots, c’est heureux…
Cette nuit qui bouche un certain jour tresse serré une frise barbelée, pour protéger un champ de mines ? Affreuses grimaces d’un malencontreux concours de circonstances…Retenue au seul vouloir de compensation tu as fait ce prodigieux travail de vidéo. Réunissant les derniers tableaux sur lesquels tes mots font disparaître le mauvais côté de la réalité.Je ne dis pas à quel point ils me traversent, pas assez en comparaison de l’insuffisance de certains tableaux. Le lieu sans doute me retient, trop d’exclamations pour rien puisque ceux qui les mettent ne lisent pas. Et puis il y a l’intime préservation ce qu’ils représentent, de ce qu’ils disent à un, grandeur d’un sentiment. C’est beau à me taire, voilà ce que j’éprouve, sache-le non comme un like automatique mais comme un ressenti permanent, un e commune présence. Simplement un acte d’amour qui réunit dans un absolu qui veut ma Barbara, je t’aime de ça…
… A l’aube de la course
S’achève la promenade de la fin de l’été.
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Elle se poursuit dans l’automne, ma Ju…
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Un bonheur renouvelé que de mettre mes mots sur ces couleurs là…
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Découverte tardive consécutive à mes problèmes de connexion internet dans un contexte dominical pas plus favorable. L’amputation d’un intense partage au profit d’un monde dans lequel ça se ballade est une souffrance intime indescriptible qui diminue la couleur . Pas tes mots, c’est heureux…
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Cette nuit qui bouche un certain jour tresse serré une frise barbelée, pour protéger un champ de mines ? Affreuses grimaces d’un malencontreux concours de circonstances…Retenue au seul vouloir de compensation tu as fait ce prodigieux travail de vidéo. Réunissant les derniers tableaux sur lesquels tes mots font disparaître le mauvais côté de la réalité.Je ne dis pas à quel point ils me traversent, pas assez en comparaison de l’insuffisance de certains tableaux. Le lieu sans doute me retient, trop d’exclamations pour rien puisque ceux qui les mettent ne lisent pas. Et puis il y a l’intime préservation ce qu’ils représentent, de ce qu’ils disent à un, grandeur d’un sentiment. C’est beau à me taire, voilà ce que j’éprouve, sache-le non comme un like automatique mais comme un ressenti permanent, un e commune présence. Simplement un acte d’amour qui réunit dans un absolu qui veut ma Barbara, je t’aime de ça…
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