La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
3 réflexions sur “JEAN FERRAT – CARCO (Louis Aragon)”
De mes mains pleines de poèmes qui tremblent jusqu’au bout de ma nuit…Je rattrappe le temps perdu…On dit qu’on ne peut pas. c’est faut. bien sûr que si, Deux années font parfois davantage que vingt…
Le do plein pour toit
J’abrite en corps
Un tant qui se perd
Bon sang qu’est-ce qu’on a pu être riche avant que le pognon nous appauvrisse..,
Ma, régale-Toi !!!
De mes mains pleines de poèmes qui tremblent jusqu’au bout de ma nuit…Je rattrappe le temps perdu…On dit qu’on ne peut pas. c’est faut. bien sûr que si, Deux années font parfois davantage que vingt…
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Le do plein pour toit
J’abrite en corps
Un tant qui se perd
Bon sang qu’est-ce qu’on a pu être riche avant que le pognon nous appauvrisse..,
Ma, régale-Toi !!!
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Voui mon…
Avec toi
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