FIL MUET – ALICE RIVAZ
Du visage qui soudain parle
un portrait clair comme l’eau vue au travers
coule seul et entouré
Prenant comme le non-dit
le vrai renvoi du miroir
grave
tendre
une chair de poule au fil des pages
comme un Amadéo Modigliani retourné dans son rouge
J’en garde une couleur d’oreilles
émouvante
qui colle au coeur
rare
à ne pouvoir dire…
Niala-Loisobleu – 5 Septembre 2019
Niala-Loisobleu 
Elle a un visage d’une grande beauté cette femme…Et sait comme on se peint des visages différents …
Allez j’écoute tout l’extrait…Merci Mon…
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J’ai toujours vu la souffrance dans les visages de Modigliani…Dis-moi, toi , que ce n’est pas vrai….
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Non, C’est un amour absolu qui se trouve dans la peinture de Modigliani, un amour intense pour une seule femme Jeanne Hébuterne.
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Oui mais il le montre en le dérobant aux yeux de tous j’ai l’impression…
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Pourquoi le montrerai-t-il à un temps qui l’a ignoré au point de la faire se défenestrer porteuse de son enfant ?
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c’est vrai, tu as raison…
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Il est très long mais j’y suis resté scotché sans peine, au contraire. La finesse y est omniprésente, le texte, la description humaine, la peinture sont prenants, oui la beauté de cet auteur est rare.
Quant à la narratrice je pense qu’elle a l’image du texte, « sonoriquement » prenante.
Merci Ma, je t’embrasse
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Oui je viens de terminer et c’est d’une grande finesse cette écriture qui épouse le tendon,,,
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