
TRANSFERT
Je défie la côte qui monte devant mes fenêtre, j’ai l’esprit assez dispos pour ne ne pas arrêter la présence de la mer.
Soit, j’ai les moyens du quotidien pour joindre, mais à compter d’une certaine personne, la poste est trop pleine de traquenards
nous voici dans le contre moyen-âge qui fut haut en couleurs et que des incultes ont baptisé à tort d’un nom qui va comme comme un gant au présent
certains départements de mon enfance furent inférieurs, pourquoi n’a-t-on pas revu le nom de cette haute époque courtoise quand jamais il n’en revint
Je te joins en marchant dans la mer, Ma, poussé par le cri matinal des Gibbons, plus encore que par ton recul à faire certaine route, il en est qui sont mortelles en dehors d’une question de vitesse. Top d’éléments pompent, les heures buvards sont lourdes à digérer.
Et puis marcher dans l’eau salée ce fut un de nos premiers désirs, alors je serais là plus vite en passant d’Atlantique en Iroise, pas besoin du truc à voler sur la Manche, j’aime la vieille méthode qui fait qu’on ne peut mieux joindre qu’en se collant peau à peau.
Niala-Loisobleu – 03/09/19
Rien n’arrête la présence de la mer devant NOS fenêtres, Mon …Nous ferons les paysages à notre convenance… Je suis dans le 50…
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