ENTRE VRAI ET FAUX
Courant l’escalier aux rampes des chemins de nulle part et la plume en épi, on passe par des tunnels au moment où la voie longeait la plage. Je descends au marche-pied calé dans ton entrejambes à la racine pileuse pour ne plus déraper du lit quand il faut rejoindre la norme habitable
le feu qui traverse nos forêts est isocèle
le fil de ta langue en brode des tapisseries
épopée frénétique d’une colchique de pré
tes monts où mes mers veillent s’écument d’eux-mêmes du poireau
Alors arrive le gué qui traverse à coups de ricochets
branchés sur l’écho d’un seul cri
je rêve de chairs joufflues à l’odeur particulière de bébé qui salive en faisant tourner la toupie de ses yeux
Areu areu sur le nombril de l’intemporel qu’on noue pour la mémoire
Ce train à la voie de ténor n’a pas le sexe plus démesuré qu’un autre, écoutons-le comme il est et non comme une légende fabriquée de toute pièce par des marchands de plaisir, je garde notre petite voix pour le râle en commun à l’abri des chapiteaux ambulants.

Creuser le duvet de l’enfance. Rassurer. Sur le seul chemin naturel qui prend la courbe inverse de la chute, Mon…
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On arrête seulement de creuser qu’après être dans le fond du trou, je suis d’accord pour l’inversion de l’habitude
Ma
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Parce que nous sommes le contraire de l’habitude…
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