50 DE FIEVRE
Carré
comme je suis
il était milieu d’un faune
en plein après-midi
Les cuivres sans embouchure volée à l’estuaire grimpaient
pour voir le fleuve d’en haut du mont
Au point d’orgue quand les anges sont censés choisir un genre j’ai vu plus d’un soupir prendre le pont, les pigeons debout restaient pétrifiés, St-Marc coupait ses spots publicitaires tout était propre. Le vaporetto hâletant poussait de la gaffe sans prendre les voiles
Le Cinquante en route
comme pas une ombre au soleil rayonne de jouissance
Encouragé par le chien sur la palette un billet pour une personne retenait sa place
Le terrier dresse ses maisons sur un monticule printanier posé dans l’ocre rouge d’une terre ouverte. Sur le banc l’innocence introduit son regard loin des cordes de pendus, un rire à sauter mis aux ailes du premier vol.
Niala-Loisobleu – 02/09/19

Alors je vais tourner autour du pot au lait pour ne pas te dire comme ton texte est beau et a le débit de l’O…
50 de fièvre c’est tant que le soc n’a plus qu à caresser la terre, le travail est déjà en route, là, Mon…Heureusement on a des yeux à voir que ce qu’on croit tous les deux et le visage de l’amour et de la perseverance…
Toi tu mouillas un jour tes pieds là où le bleu prend sa source….
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Il suffit d’un tout que seul le rien connaît pour que l’assombri s’éclaire
Les enfants savent ça tous seuls
Nos yeux traversent la retenue rigide dogmatique qui pourtant ne les épargne en rien
Voir comme sentir et toucher
Réussir le seul rêve qui coule comme notre sang bat
Oui ça source du bleu, Ma…
El
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