La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
19 réflexions sur “Sous un ciel de lait caillé…, Jean-Claude Pirotte”
J’aime beaucoup Pirotte…et quel bonheur de pouvoir voir des poètes clope et verre à la main…
Aujourd’hui pour entrer chez Gallimard il faut prouver qu’on est Vegan de corps et d’esprit…
Oui l’odeur naturelle qui se fout de regarder s’il est l’heure de changer de protège-slip parce que Gallimard daigne,,, être Vegan c’est juste une bonne recette pour se faire bobo…
Ce soir j’ai envie de puer de tout ce qui dérange de moi, qu’est-ce qu’elle a ma gueule, rien d’un conteur Geiger de tirelire, juste une envie d’être amoureux comme je veux, de qui veut sans devoir cocher les cases d’un code de société qui me fait gerber.
Du soleil au naturel que je possède on a voulu me polluer le week-end méchamment. C’est con, oui ça fait mal, mais quand au fond ça le renforce au lieu de l’amoindrir.
Merde à vos bans, je t’embrasse Barbara.
J’aime beaucoup Pirotte…et quel bonheur de pouvoir voir des poètes clope et verre à la main…
Aujourd’hui pour entrer chez Gallimard il faut prouver qu’on est Vegan de corps et d’esprit…
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Oui l’odeur naturelle qui se fout de regarder s’il est l’heure de changer de protège-slip parce que Gallimard daigne,,, être Vegan c’est juste une bonne recette pour se faire bobo…
Ce soir j’ai envie de puer de tout ce qui dérange de moi, qu’est-ce qu’elle a ma gueule, rien d’un conteur Geiger de tirelire, juste une envie d’être amoureux comme je veux, de qui veut sans devoir cocher les cases d’un code de société qui me fait gerber.
Du soleil au naturel que je possède on a voulu me polluer le week-end méchamment. C’est con, oui ça fait mal, mais quand au fond ça le renforce au lieu de l’amoindrir.
Merde à vos bans, je t’embrasse Barbara.
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Merde aux visages gris pornographes et puritains en même temps; descends au jardin, Alain, il y fait plu seins…
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J’y descends et m’y tiens au sain des seins, Barbara !
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Et plus que ça tombe, plus je me bats l’anse d’avoir choisi le bon mouillage !
Merci Barbara.
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Les cloches défébrilent
ça pue l’an 100;
embarque…
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Pour qui sonne le gland dit
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Le sonne heur !
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Manquerait plus que ce soit le sonne-automne!
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Non v’là le peint tant !!!!
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ouf heureusement le peint tant ça rend pas dur de la feuille!
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Juste de la branche…
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Ah ça quand ça rame ô…
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Pour le mât rognié
de la pudibonderie?
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Où le chat peigné au rasoir à maints…d’une grenouille de bénitier ?
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oui mais la grenouille avait déjà une cuisse dans l’assiette qu’elle persillait encore les Bénis oui oui!
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Repoussons les fâcheux, le jardin en sentira mieux…
Merci Gilles.
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Merci Anne.
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Merci Zoryana.
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