LE MUR
L’horizon sorti des fenêtres,
la musique porteuse d’un genre rapproche des couloirs du labyrinthe d’un autre
Entre la clarté et le noir un mur a érigé une frontière
Guernesey qu’étais-tu: mirador ou belvédère
combien Victor a du méditer sur le tout et son contraire
île au trésor ou exil castrateur ?
Tu te crois au large,
au matin t’ouvre le hublot
et découvre que t’es garé aux bateaux inertes de St -Tropez
les ris d’eaux peuvent en cacher d’autres.
Niala-Loisobleu – 22 Avril 2018

La terre dont le battant qui tourne t’éblouit
encore enveloppée dans l’épaisseur bleue
m’éclaire sans s’éteindre à travers ce mur.
Les murs se referment,
la route seule nous éclaire.
L’entame, André Du Bouchet.
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Jamais je ne me déferai de l’impression double que cette maison d’exil m’a faite lorsque j’y suis entré pour la première fois. Le mystère qui se dégage de Victor Hugo dans sa présence poétique quotidienne est ici pulvérisé par un trouble qui soulève et écrase..Tout est est en perpétuel vouloir faire et défaire. La décoration oeuvre de Victor, est en soi une mise en scène qui traverse lourdement la légèreté discrète. Spielberg serait-il venu là pour des réglages de Jurassic Parc ? Je me pose la question…Puis redescendant du fameux belvédère où l’horizon se retourne, on va, ô miracle trouver l’oxygène dans la magnificence paradisiaque du jardin..
C’est la résidence du yin et du yang cette maison…
Une philosophie écrite seulement en images…
Merci Barbara.
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Le flux et le reflux sont à leur place en ces lieux…
Merci Gilles.
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Merci lesfaitsplumes
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Merci Boris.
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