DEUX SONGES
Je dormais dans une maison prise par le brouillard.
Un songe que j’aurais pu faire éclairait le jardin
Et dans le brouillard du sommeil je tâtonnais en vain
Pour entrer dans cette lumière absente et véritable.
Cependant je croyais toucher l’herbe minutieuse
Et les cailloux à jamais dénombrés ne m’étaient pas Étrangers, ni l’orme sans ombre auprès de la clôture
Où la rose morte brûlait d’un souterrain éclat.
M’étais-je confondu avec la paix inaccessible
Au voyageur, avec la pierre où je voulais m’asseoir? Éveillé j’ai fait quelques pas dans la lumière aveugle
Et j’ai vu s’avancer mon double ; il m’a pris dans ses bras.
Disant : puisqu’un songe en dehors du songe nous
rassemble,
Il faut prier ; tes yeux ouverts ne se fermeront plus,
Tes yeux qui voient.
Jacques Réda

De la main forestière l’hêtre tira ses faines du gland et les planta tout autour de la clairière…
Merci Gilles.
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J’espère qu’ils vécurent heureux…
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A traversée
je n’ai pas eu peur
J’aurais dû ?
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?
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?
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pas compris…
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Moi non plus…
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ah bon…
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Tant mieux, c’est que ça va…
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ah bon…Alors ça va.
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Merci leegschrift
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Merci Anne.
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Merci Célestine.
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Très beau et quel bel arc-en-ciel… belle soirée
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Merci à toi lesfaitsplumes.
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Merci Zoryana.
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Merci tracesdusouffle.
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