16 réflexions sur “Passer par l’absence de portes, Alain Jouffroy”

1. Au seuil vert de l’attente je passe
   A la commissure contrariée je passe…

   J’aimeAimé par 2 personnes

   • A l’abattant occupé sous l’affaisse je passe
     A l’oeil dans l’escarbille du tunnel je passe
     A la peine de main coincée dans l’entre-jambe du couloir de correspondances je passe…

     J’aimeAimé par 1 personne

     • Au nichoir de l’oiseau je passe
       à sa mangeoire sans heure
       et à la moustache du vieux chat je passe.

       J’aimeAimé par 1 personne

       • Ah c’est bien vrai chat qu’au chat mes moustaches passent !

         J’aimeAimé par 1 personne

         • Chat alors, j’en souris et je passe…

           J’aimeAimé par 1 personne

   • Merci Célestine.

     J’aimeAimé par 2 personnes

2. Passer par ta porte, et trouver le scintillement de l’eau qui tremble sur les murs…
   •.¸¸.•`•.¸¸✿

   J’aimeAimé par 2 personnes

   • Au rayon dégonflé du peu de piste cyclable je passe au travers l’herbe, ventre pas à taire !

     J’aimeAimé par 2 personnes

     • Merci Célestine.

       J’aimeAimé par 1 personne

3. Aux champs de peu de récoltes
   et sous le ventre de la vache ébahie je passe.

   J’aimeAimé par 2 personnes

4. Au pis c’est vrai que sous le ventre, ah la vache j’en reviens pas en corps…

   J’aimeJ’aime

5. Par MON
   par Veaux vaches cochons je passe
   et Pis c’est tout, d’une traite je passe.

   J’aimeAimé par 1 personne

6. Merci Gilles.

   J’aimeJ’aime

7. A la butée de l’esprit chagrin je passe…
   Merci Sisyphus47.

   J’aimeJ’aime

8. Merci michema .

   J’aimeJ’aime

9. Merci MioModus.

   J’aimeJ’aime

Les commentaires sont fermés.