UN DIMANCHE
Des lambeaux de brumes se tordent les bras , ici et là un barbelé, une branche morte, les derniers mots d’une épitaphe les retiennent au passage
pourquoi les jetteraient-on ?
Le cimetières marins où les charpentes navales gisent, vertèbrent d’une moelle épique plus qu’un ex-voto à l’abri d’un monte en chaire
C’est porteur de suivre la carte où l’on a noté l’emplacement des épaves, les bans de récifs, les sales de concerts des Gorgones et les barres à pute où les gogos viennent oublier leur fuite.
Je signerai ce que j’ai peint, pour entamer le passage à l’acte. La robe de ce jour se fout du temps variable. Ses petite bretelles glissent sans problème pour laisser le jardin prendre l’air.
Photo: La Soloire devant chez moi, un moment de printemps
Niala-Loisobleu – 15 Avril 2018

Que la robe de ce jour te soit claire…
Bonne journée…
J’aimeAimé par 1 personne
Elle met si claire que je la vois transparente à lire à coeur ouvert…Le temps boude, eh ben qu’il sache que c’est pas mon problème…la gueule c’est comme les belles-mères, c’est pas navigable…
Merci Barbara
J’aimeAimé par 1 personne
J’ai une tourterelle sur le bord des dents, ça roux cool…
Merci Gilles.
J’aimeJ’aime
Merci Jo-Ailes.
J’aimeJ’aime