TENUE DE PRINTEMPS
L’imprimé de tes tissus organiques , je me souviens l’avoir tiré en lithographie.
Oeuvre d’art glissée entre les deux-pierres encrées, partie intime de ton feuillage mise dans mon herbier.
La vibration du derme hérissant ce velu qui me sert à peindre, je prends là où ses parties sont mieux que martre pour restituer le jeu de loutre amoureuse. Du ru ou ricochent les jets de main, le courant électrifie mes doigts funiculaires.
Et ton haut des marches balance tes seins en un perron mobile où un pistolet trace l’élégance mature de leur courbe pendant que j’équerre à 90°.
Que d’ondes se jettent au sémaphore. Tu connais le manuel comme un gant me dit la voix non sortie d’un monologue du vagin…
Niala-Loisobleu – 15 Avril 2018

Le jardin dense
sous l’appui
La robe équin ton de poils
essaim au jabot
ah que je saigne au point d’art…
Merci Barbara.
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Et le pire serait de perdre la voie d’en dire en corps…
Merci Audrey.
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Merci Barbara.
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Le point d’Art Comme le pont du même nom.
Ni avant, ni après, entièrement à l’enjambement .
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Entre jambes de bonne compagnie un trip peauker saute la rivière, la haie et la barrière…
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En voyant l’espace s’ouvrir l’amer passa en mode mortes eaux…
Merci Gilles.
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Merci Barbara.
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trois merci qui dansent sur la toile…
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L’étroit élargit…
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Les mous s’que taire un porthos tousse pour rin
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Me disait bien…
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Merci
lesfaitsplumes
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Merci MioModus
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Merci Aldor
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A peine si le caché était dans le vêtu…
Merci Sisyphus47.
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