GRAVITE


On dirait ses lèvres ce qui a bougé, qu’à part moi et ma sensation d’avoir compris, personne s’en est aperçu. Depuis le temps, j’admets que la relativité c’est du domaine scientifique. Le contraire de la poésie, si c’est pris au 1er degré. Derrière l’écran de fumée que d’idées reçues sont télévisées. Quand elle s’appuya à la cheminée en revanche je ne vis rien de tel. Un peu trop d’inquiétude c’est vrai, mais le grave est un sentiment qui, pris au sérieux, a du mal à se dessaisir de la peur de l’imposture du quotidien. L’éclat ne s’apprend pas, c’est inné. Leurs jambes de verdure, à l’androgyne et l’enfant vont comme des maisons-arbres au dépassement de la porte close vers la Sérénité.

N-L – 10/04/118

11 réflexions sur “GRAVITE

  1. En cassant la glace je m’étais dit: je verrai plus moi mais ce qui est derrière, mais tant de froid ne m’amena qu’au verre…
    Merci Gilles.

    J’aime

Les commentaires sont fermés.