La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Les vents qui ont soufflé depuis ce jour de Juillet dernier où tout a été chamboulé, rentrent doucement à leur place, le crampon pouvoir être enfoncé
Le concept pictural qui dans les plus sales moments t’a sorti de l’ornière est le bon chemin à prendre
Les grandes idées comme disaient Tonton Georges faut s’en écarter, cette idée de Fondation n’a servi qu’à développer le diabète avec qui tu avais trouvé le compromis depuis des décennies. Station verticale, vue, équilibre général étant menacés d’hospitalisation, sauves en toi toi tout seul
Grand danger
L’eau en ce moment contribue à un désespoir qui n’est pas le tien. Le monde est foutu, mais comme il n’a jamais été tien le refaire resterait vain
Ce qui te manque c’est la femme qui t’a toujours été indispensable. Avec elle, tu regardes dans la même direction
Tes tableaux retrouvent ce bleu indispensable à cette déplorable situation
Rentre de nouveau tes mains aux seuls endroits viables de sa beauté
Et laisse aller de côté la contrariété des idées sans suite venue de tous ces autres qui n’ont fait que répondre à leurs pulsions, sans jamais avoir de détermination véritable…
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