
LES MARCHES A REBOURS
Il y avait une fois l’étage et la maison pleine de vie
maintenant rendue à vivre de plain-pied
je dois sortir des promesses quelles qu’elles puissent être
aujourd’hui passé les dates toute suite s’évanouit d’elle-même
Avril te voilà qui me ramène au début de l’hospitalisation
aujourdhui je sais comment ça a fini
l’inconnu n’existe que dans l’oubli des intentions
Je peindrai quand m’aime mais sans l’inspiration d’une promesse quelconque
me contentant de redevenir l’enfant qui est seul à croire en lui
et qui peint dans la bulle de son nuage
au milieu du mirage de l’amour qu’il cultive.
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Niala-Loisobleu.
3 Avril 2024
l’inconnu n’existe que dans l’oubli des intentions…
A męditer entre deux averses !
Merci Alain
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Aucun doute à cet égard. La multiplication du phénomène va droit à la généralisation des crues.
Merci Jean-Marc.
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