La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
un meuble là, une chaise ici, la volière vidée de ses cris
nous lançons les travaux pour me continuer à vivre sans s’arrêter aux questions des cases à remplir
C’est fou ce que les mains peuvent contenir
Les tableaux vont partir à Châteaubernard vendredi matin, samedi Marylène et Jean-Michel déplaceront de quoi trouver la place nette pour qu’Anthony construise à partir de lundi la place de mes jambes au rez-de-chaussée
Ces mains sont ma rampe
elles ne veulent pas que je tombe dans mon escalier….
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