L’heure s’attarde…L’heure s’attarde au bout des soirs, page lisse, or fluide, sourire vaste, le tout peut-être décentré. Elle est venue, l’Ange s’incline. Puis c’est le tour du temps distrait qui lui aussi s’incline, tandis qu’un autre plus vivant veut atten- dre debout. Nous sommes cernés, car c’est l’annonciation de la naissance du temps de ce qui pourra naître.Comme on allait à l’eau, toi, tu iras au temps. Ce qui pré- cède était rencontre et ne cessera plus.
Gabrielle Althen |