
Jean Ferrat – Mon pays était beau
Mon pays était beau, d’une beauté sauvage
Et l’homme le cheval et le bois et l’outil
Vivaient en harmonie jusqu’à ce grand saccage
Personne ne peut plus simplement vivre ici
Il pleut sur ce village aux ruelles obscures
Et rien d’autre ne bouge, le silence s’installe au pied de notre lit
Ô silence, rendre et déchirant violon, gaie fanfare
Recouvre-nous du grand manteau de nuit, de tes ailes géantes
Mon pays était beau, d’une beauté sauvage
Et l’homme le cheval et le bois et l’outil
Vivaient en harmonie jusqu’à ce grand saccage
Personne ne peut plus simplement vivre ici.
Source : LyricFind
Voilà ce que Jean Ferrat disait : « La poésie d’Aragon, c’est simple, c’est direct, c’est beau. Je crois que ce sont trois choses qui sont essentielles pour moi dans la chanson, c’est ce que j’essaie de faire moi-même, avec difficulté… » et pourtant à lire cette poésie, quelle fluidité !
merci
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Ferrat c’est une borne qui marque l’authenticité d’une foi simple mais très profonde de la vie
S’y référer témoigne d’une culture du vouloir comprendre et non de l’acquis
Tu es dans cette tessiture Louise
Merci
Bonne nuit
Alain
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🙂
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