La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Il est doux, quand la mer est agitée… (LUCRÈCE, Poème de la Nature, liv. II, vers 1)
Suave mari magno, turbantibus aequora ventis, E terra magnum alterius spectare laborem, Non quia vexari quemquam est jucunda voluptas. Sed quibus ipse malis careas quia cernere suave est. Quand l’Océan s’irrite, agité par l’orage, Il est doux, sans péril, d’observer du rivage Les efforts douloureux des tremblants matelots Luttant contre la mort sur le gouffre des flots ; Et quoique à la pitié leur destin nous invite, On jouit en secret des malheurs qu’on évite.
JASMIN, LUPINS ET L’AUTRE ROSE-BLEU D’UNE FENÊTRE SUR LE NOIR
Pauvre cul roide que le froid bâillonne à l’entrée de la sortie
le chat tuile les visiteurs, ce maux de passe, fait rougir la lanterne de l’apporte pute
Clandé de richards
Marthe, toi, parle-moi
tes fleurs sur le grand-pavois du jardin avec ta main dans mes cheveux et ton cerfeuil dans mes tomettes
je monterai le courrier aux locataires tout à l’heure avant que le 51 soit mis en co-propriété
Puis j’irai voir les dames des Tuileries qui font un piedestal aux moineaux , une opérette au Jardin de Verdure en croisant les cuisses pour nourrir les pigeons
Le grand-bassin de parturiente tient à flot les enfants
tant qui reste de l’aube pour la communion
L’âne les promènera dans sa petite-charrette jusqu’à Guignol
C’est transparent dedans de lait qui croque son goûter de rire sous les marronniers chauves du moment qui retiennent les feuilles de leurs marrons-dinde à picots
L’atelier répond aux questions qui ne se posent plus depuis l’indifférence
Ma sur le tapis-volant dans ma tenue préférée d’herbe aromatique, comme tapant du point soulevé au départ de construire affinité
J’allume le brasero pour la châtaigne en prenant la main de la chanson de rue d’un parolier venu de la lune par la marée
La mer est à portée, son sel dans mon sac d’utopie, que le fade ne s’en prenne pas à mes couleurs
Chante que ça gêne les sécheresses utérines.de l’abstinence.
Fenêtre ouverte sur toute merde, c’est l’angoisse de se projeter au dehors
Le panel du tracas est trop lourd en mauvais sucres
Je file « Menu du Jour » pour l’essence ciel équilibre
Dans l’autre monde construit sans toucher à celui-ci, mettre ses fleurs dans son herbe, c’est comme sortir son coeur faire l’amour en bonne et simple énergie
Toi qui est femme et moi homme avons au départ le complément naturel, apte au bon fonctionnement, se prendre la tête au point d’en arriver au pronom iel-iele me dépasse pas qu’un brin
C’est la fin de l’ÊTRE
Sauvage garde tout ce que l’élevage tue
Nos sexes comme ils sont à l’origine d’un choix gardant tout son mystère c’est le bon mélange du bouquet du choix de son ô de toilette
A mes moustaches ajouter ta barbe m’assure une joie saine que l’ennui ne peut gâter d’un doute.
Les ailes de ton iris déployées portent à mon tronc dressé une autre obole que celle pour les veuves
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