
NE PLUS DEVOYER L’Ô
Quitter le taire sec du non-dit , cet espace de non-reconnaissance par refus volontaire du paysage
A grimer la côte pour en repousser l’accostage la pieuvre tient les méduses sur la plage claire
Au centre du patio la fontaine chante, pourquoi vouloir couper ses branches du sauvage ?
Un temps nettoie l’encrassé du mal-fondé
Le pont est lancé
Pas de honte à reconnaître ses erreurs, l’automne assainit l’épendage
Reste du vers dans la cressonnière au rivet de la carlingue
Et nue aux pieds du chien tu tiens l’anémone debout.
Niala-Loisobleu – 30 Octobre 2021










Vous devez être connecté pour poster un commentaire.