
BRIBES (VIII)
D’une étincelle portée à l’amadou nombril erre
le feu prit le chemin dans son entier
on vit monter les flammes jusqu’au saint du jour
les paumes en bouquets d’immortelles
tandis que par la corniche des hanches
le tressaut abdominal se réglait au montant de la marée
à la butée des étoiles….
Niala-Loisobleu – 25 Novembre 2018
A la Butée des étoiles, nous bâtissions le NOUS , il en est la promesse et l’attente calmée de son impatience déjà…le premier est le désir , le second l’accomplissement…Le premier est un pacte, le second le pacte renouvelé qui a accroché ses bouquets d’immortelles au plafond…
Se pourrait-il que nous ayons eu cette sagesse folle d’établir notre maison au bout du compte et que du film que nous regardâmes ensemble nous ayons finalement réussi à changer la fin pour en trouver une à notre image…
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Construite en deux parties notre maison va au Nil en suivant les prédictions du script…le grand oiseau-sacré couchant sur la pierre l’histoire d’Ô mis à flot…
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Oui…telle était son lieu habitable…
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Accrochés aux pierres des flammes cathares nous débusquâmes le serpent en plaine mue. Poussés au haut-le-coeur du vertige par un changement de route, l’autan nous rattrapa à flanc de mer. Nous mettant bon train au bain d’un occitan peuplé de meuhs, en droit tout à fait habitable…
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si bien que je décrète à la face du monde qu’il n’y a pas plus lucide et clairvoyant qu’une vache.
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Surtout quand du taureau elle a l’entrain…
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et qu’elle gare ses fesses à quai…
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Voilà c’est ça les fesses boeuf…
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Brassens, Le pince-fesses.
Pour deux ou trois chansons, lesquell’s je le confesse
Sont discutables sous le rapport du bon goût,
J’ai la réputation d’un sacré pince-fesses
Mais c’est une légende, et j’en souffre beaucoup.
Refrain
Les fesses, ça me plaît, je n’ crains pas de le dire,
Sur l’herbe tendre j’aime à les faire bondir.
Dans certains cas, je vais jusqu’à les botter mais
Dieu m’est témoin que je ne les pince jamais.
En me voyant venir, femmes, filles, fillettes,
Au fur et à mesure avec des cris aigus,
Courent mettre en lieu sûr leurs fesses trop douillettes,
Suivies des jeunes gens aux rondeurs ambiguës.
Quand une bonne soeur m’invite entre deux messes
A lui pincer la croupe infidèle à Jésus,
Pour chasser le démon qui habite ses fesses,
Je lui vide un grand verre d’eau bénite dessus.
En revanche, si la même enlevant son cilice
Et me montrant ses reins me dit : « J’ai mal ici :
Embrassez-moi, de grâce arrêtez mon supplice ! »
Je m’exécute en parfait chrétien que je suis.
Quand me courant après, la marchande d’hosties
Me prie d’épousseter les traces que les doigts
Des mitrons ont laissées sur sa chair rebondie,
Je la brosse : un Français se doit d’être courtois !
Et quand, à la kermesse, un’ belle pratiquante
M’appelle à son secours pour s’être enfoncé dans
Sa fesse maladroite une herbe un peu piquante,
Je ne ménage ni mes lèvres ni mes dents.
Cert’s, un jour, j’ai pincé l’éminence charnue
A une moribonde afin de savoir si
Elle vivait encore : une gifle est venue
Me prouver qu’elle n’était qu’en catalepsie.
Enfin, si désormais quelqu’une de vos proches
Affirme en vous montrant son cul couvert de bleus,
Qu’ c’est moi qui les ai faits, avec mes pattes croches,
En doute révoquez ses propos scandaleux.
https://youtu.be/KEpRwnag8d0
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