LA VITRE ETOILEE DE GIVRE
Devant un marché à qui le mauvais sort fauche les jambes, il n’y a plus rien à voler M. le Président, dit l’oiso, là en tant que plaignant. A quoi sert de lever la main droite et dire je le jure, quand on sait d’avance qu’on ne croira que le menteur.
-Que voulez-vous dire , je ne comprends pas, lui répond l’herminé rouge …
-C’est le contraire que j’eusse rien compris fait l’emplumé en claquant la barre à putes et en s »enfuyant du Palais des glaces déformantes.
L’horloge à quai les heures rament aux avis ronds du club des charmeurs de serpents, la flûte enchantée toujours disponible au panier comme un jeune scout prêt à pas vouloir se faire reconnaître par attouchement du corps ecclésiastique. Voilà le contraste de l’écume des jours. Quand j’allais avec Boris glavioter sur tout ce qui tombe, on allaient au Tabou que pour se débarrasser des nôtres.
Garé devant chez le bougnat mon bout de bois cherche pas fortune,.
Il gèle à fendre si tu veux que je te fasse mitaines je t’éventrerai peau à peau, comme une bohémienne-extra-lucide, qui lit l’à venir sans mettre un point à la ligne comme ceux qui laissent sur sa fin. Les étages de mes vagabondages descendent en âge au fur et mesure que l’étal-civil dit le contraire. Plus môme que moi, sans rien de sénile ça n’existe pas, , je pisse dru sans discussion prostatique à n’en plus finir, te le jure pas tu sais haut la main que vérifier par soi-même vaut mieux qu’un maux de trop.
Aujourd’hui je me fous des emmerdes à venir, à quoi bon vouloir les deviner, de tout ce qui se souhaite, c’est la certitude absolue qu’elles viendront toutes seules. Quand le matin et après je t’écris, je suis bien tout seul avec Toi,
au point que ça peut pas s’imaginer, y a qu’à voir les commentaires qui n’ont jamais envie de venir. pour ne serait-ce que pour imaginer….
Niala-Loisobleu – 20 Novembre 2018

ON NE PEUT ME CONNAITRE
(Les Yeux Fertiles)
On ne peut me connaître
Mieux que tu me connais
Tes yeux dans lesquels nous dormons
Tous les deux
Ont fait à mes lumières d’homme
Un sort meilleur qu’aux nuits du monde
Tes yeux dans lesquels je voyage
Ont donné aux gestes des routes
Un sens détaché de la terre
Dans tes yeux ceux qui nous révèlent
Notre solitude infinie
Ne sont plus ce qu’ ils croyaient être
On ne peut te connaître
Mieux que je te connais.
Paul Eluard.
Il me semble qu’il fait soudain moins froid comme si les étages de nos vagabondages descendaient d’un cran de plus à chaque fois dans le coeur chaud de la terre…
Je t’embrasse mon Alain…
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Le chardon donne meilleure mine aux ânes
que le boulet aux salamandres…Quant aux extracteurs de bonne conscience la gueule noire ne les salit pas, ça brise que les reins…
Merci ma Barbara.
C
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ton message a du être coupé..Un « C » traîne tout seul…
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C extra 💓💓💓
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Conque…
Ne me parlez pas de l’injustice
Ma peur est adulte et dans la fièvre de l’enfance
ne se glisse plus que le cadran intime
de horloge reconquise sur le tumulte du vice
et sa grande bouche sèche et rance.
Ne me parlez pas de l’injustice
et du poignard des mésalliances
qui laissent agonir les couleurs fondatrices
sur la tête tranchée de l’espérance.
Parlez-moi de la chambre contiguë
voûtée, conque secrète d épaule nue
sur laquelle confiant on se balance.
Parlez-moi de la mer et de ses errances
couchée conquise au galet de nos pieds nus.
Rendez sereinement et sans méfiance
l’enfant à la vague pulsatrice.
Barbara Auzou…
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J’en barque larme abdominale soulevée …
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Bon voyage alors…Je t’embrasse
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Alors les côtes ne retinrent que le goût de l’isthme sur la langue de taire. Eux entre ils se disaient large comme l’envie
Ça tisse fait…
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