Ton Pendu
Ourlée de poussière d’étoiles et d’herbes de comètes joueuses,
l’aubade du matin a les yeux verts de prose,
quelques oranges vibratiles aux branches du paradis
sont sorties d’un seul cri de la spirale du cahier, l’élan propulsé hors des limites du bienséant.
De l’eau jusqu’à la tasse des écailles, sous le cuir factice d’une âme appeau de fleur, la radio débite les infos à grands renfort de spots publicitaires. Enroulée en volutes de fumée la sève nicotine sa piquouze de nitrate à l’artère qui avale cul sec la connerie qui rapporte, sans demander son reste.
Des vents, que l’abruti que je suis garde comme fanons en grand pavois sur l’écoutille ouverte d’une vue optimisée, tiennent à flot malgré les risées du voisinage, contraires à la navigation à voile. Les nageoires dorsales de tes cuisses ont des sautillements de brasse papillon quand tes yeux gourmands m’ouvrent l’écluse aux regards transhumants d’une chanson de Prévert
Niala- Loisobleu – 16 Octobre 2017

Happer le sein des ceints n’est-ce pas enfin voir un dieu en chair et en os ?
Merci Boris.
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Une chanson de Prévert c’est la tige des pins qui s’aiguille dans le ravin des saints. Paume, paume d’home Célestine !
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La limite du bien séant frange le sable d’écume. Vois-tu, au loin les vagues enrouler ma peau ?
¸¸.•¨• 🦋¸¸.•¨• 🦋
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Ta peau en roulé boulé, un truc au plume pour se faire jus do cas ! Ouah la mer, et ses golfes clairs c’est nationale 7 pour l’apporte du gare âge !
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Vie rage à la corde, voilà un bon moyen de couper court à l’ennui de vivre
Merci Elisa.
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Dans la spirale joyeuse du vent de tes mots, frémissent mon corps et mon âme 💙
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Où comment l’âme à t’heur se fait professionnelle !
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A contre seins retrouver le bon sens.
Merci ivanitch.
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