Du haut de la nuit


Du haut de la nuit

Jardin suspendu aux courbes d’un arc-en-ciel,

qui va cerf-volant

Au bout de ma ficelle vagabonde, libre, je vais vers une tolérance,

ouverte à nos mains jointes,

recoudre la déchirure de nos poitrines malmenées.

Je franchis  les ronces cachées dans la transparence du simulacre.

Niala-Loisobleu 16 Octobre 2017

 

11 réflexions sur “Du haut de la nuit

  1. Le vouloir porté par le clavier, pianote, tirant de la nuit des désirs de faire qui, bien que solitaires vont au devant d’autres
    Merci lemarcheursolitaire.

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  2. Tu te laisses toutes blanches et noires de ton clavier nu monter et descendre hors du couvercle pour naître que ton pseudo.
    Merci jesuisunenocturne ❤️

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