Du haut de la nuit
Jardin suspendu aux courbes d’un arc-en-ciel,
qui va cerf-volant
Au bout de ma ficelle vagabonde, libre, je vais vers une tolérance,
ouverte à nos mains jointes,
recoudre la déchirure de nos poitrines malmenées.
Je franchis les ronces cachées dans la transparence du simulacre.
Niala-Loisobleu 16 Octobre 2017
Le vouloir porté par le clavier, pianote, tirant de la nuit des désirs de faire qui, bien que solitaires vont au devant d’autres
Merci lemarcheursolitaire.
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Dans les limbes où tout se confond, un piano trouve la gamme.
Merci Luciole.
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En morceaux déchires par le fil des jours, Nous luttons pour demeurer entier.
Merci Boris.
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Magnifique moment de musique. Merci.
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Oui. Moment où la place se recentre pour écouter afin de mettre le forum sur silence.
Merci Luciole ❤️
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Tu te laisses toutes blanches et noires de ton clavier nu monter et descendre hors du couvercle pour naître que ton pseudo.
Merci jesuisunenocturne ❤️
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Dans la protection infinie de l’intime, le piano fait taire tous les meubles pour chanter de sa propre voix.
Merci Audrey.
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Les bretelles glissent en doubles-croches, du ciel la nuit porte ses vagues pianissimo, quand le dos tend ses cordes.
Merci Célestine.
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Du haut de ma nuit étoilées, je tango tangue… la musique de ton cœur bat ma démesure… 🦋
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La démesure renvoie à la feuille de vigne, et en corps rien n’est moins sûr !
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Les pleurs du piano transportent l’espoir.
Merci ivanitch.
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