ASSECHEMENT
Pourquoi aurai-je ouvert à ce rien qui d’un tout, submerge,
prend la place, s’installe comme chez lui
n’est-il pas entré tout seul ?
Non.
Il n’aurait pas eu la hauteur suffisante pour atteindre le bouton de porte
une courte-échelle a poussé le pied du mur pour le lancer.
AUTREFOIS…
Autrefois,
nous rêvions trop
en vers et en couleurs
en parler d’avant les langues
nous masquions nos songes de sable
ou de crainte
Toujours à l’écoute du chant
du murmure des cicatrices
« on s’aime blessé » dit un poète
Nous le croyons…
Agnès Schnell
N’oublies pas
que la sensibilité est l’essence
le sel
volontairement
posé
pour qu’elle ne cicatrise pas
Ainsi l’amour ne s’oublie
comme une vulgaire denrée qu’on jette sans l’avoir finie
Niala-Loisobleu – 25 Mars 2017

Vois-tu Boris… mais suis- je con, tu vois, excuse-moi.
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Ils étaient légion à la percée du regard, seulement laissés invisibles par l’usage des maux.
Merci Margot.
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Mes ça de gouttière grimpent,
remettant la marche
à la verticale !
Merci Sisyphus47.
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Ce qui refuse la verticale, s’enlise aux mirages des dunes et des autres. Il n’y a de soleil qu’au zénith des pluies, pour que l’humide se dresse Idéelle.
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Les châteaux d’eau aspirés par les maïs en pépie finissent par se taper les douves. Economie de pont-levis, reste à savoir où trouver l’herse verte…
Merci affranchie.
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Merci pour ces mots si…, tellement…. enfin merci. Je suis ravie aussi de découvrir Agnès shnell.
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Et je le sens ton ravissement Stéphanie❤
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L’amour dure au-delà du tant de temps 💙
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L’amour est immatériel, il demeure hors de ce qui n’est que de passage étant le passage, l’amour est mouvement perpétuel.
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Dans le mot que la situation crie, l’encre renversée cherche l’oie dans les plumes taillées, on ne sait où…
Mystère des chambres jaunes Idéelle, merci.
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