RESTONS AU NID
M’réveiller
les mains pleines de ton odeur
dans les draps en corps mouillés
vivant mais tout raide
où raide mord
qu’est-ce que ça m’lève une idée d’enfant germant au ventre, bouchant le creux d’un plein délié de suspension, exclamant les mots lierre accrochés par les patins, langues en titre, puti que tes nichons ça rapproche, restons au nid !
Niala-Loisobleu – 11 Mars 2017
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