PRIERE DU SEOIR
Aux yeux qui sont restés dans les daubes, les herbes marinent toujours. Sur les tâches d’huile d’ô live des meules, les soupirs ont eus l’humeur garenne. Quel âge a le tant ? Il n’a que de brèves aller et venues, qui font qu’il n’a pas le loisir de vieillir. Mais seulement si l’on prend garde de ne pas le semer par grand vent. Oui, elle fut demoiselle, blanche dans sa robe d’un printemps de poète. Un jour où les poubelles girls ne faisaient pas semblant de denser. Qu’en garde-je ? Une belle image au coeur qui en me brûlant l’oeil fait aller mon vélo sur les traverses d’une lueur de bougie-bougie quand vient l’heur de la prière du seoir.
Niala-Loisobleu – 23 Mars 2017

A la lueur de tes reblogs, tu me propulses dans sphère où les si bers tiennent les bateaux debout quand l’eau est à marée basse, te dire comme ça me fait tant beau Rocafort !
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Des tiroirs laissés ouverts une histoire sort en suspend. Point t’y es. Sur le calendrier des pompiers le feu est éteint, en corps un jour pour rien pensent les allume être. On a beau faire, on a beau dire, l’espoir laissé par Molière à toujours été contrarié à la Racine par un bilieux.
Merci Célestine.
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Merci Marguerite, j’ai dit ailleurs ma pensée.
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