Quel plaisir ! Lire enfin un texte haut en couleur, digne d’intérêt au moment où le désir de balayer devant ma porte se fait pressant. A fins de sortir les profiteurs qui ne font que prendre sans rien offrir, même pas leur gratitude, impoliment de surcroît par le témoignage de leur silence indifférent. Partager n’est pas prendre. Donner c’est tout ce qui peut soulager ce qui vous manque parfois trop. Merci beaucoup pour ce moment privilégié, réconfortant en tous points, que j’en dirai que ton texte est un magnifique tableau, que je m’empresse de rebloguer dans l’instant !
Alain.
Les choses qui nous blessent et nous détruisent sont celles que l’on ne choisit pas, entreprenez plutôt que de subir. N’ayez pas peur d’échouer, rien ne sera pire que l’absence d’éternité.
Face au vide, vous doutez. Vous vous remettez en question et ce, en permanence. Vous prenez l’habitude, inconsciemment, de réfléchir à deux fois avant de parler, avant d’agir. La confiance qui vous habite devient étrangère. Comme une flamme, elle s’éteint pour un moindre coup de vent ou au contact d’une larme. Elle, qui était votre ombre, se détache peu à peu de son rivage. Vous vous situez au sommet de cette falaise. Vos pieds, regroupés de façon symétrique, vous figent au sol depuis des années. Chaque seconde supplémentaire creuse vos souliers, dans cette place qui vous définit. Elle porte un nom, un nom que vous connaissez. Vous en entendez parler à la télé, dans des bouquins voire même dans…
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