Lueur Parapsychique
D’un soleil de Mardi-Gras à la pluie des gouttières
Mes arcades sourcillent et peinent à se tenir hors de l’eau
Les heures se sont à nouveau mises en panne sèche
Comme un bateau privé de ses jambes au flux de l’élan d’un estran plein
Teintes d’un fragment d’espoir lavées par le changement de vent
Vains redeviennent les instants palpables qui perçaient l’absence
Veilleuse involontaire de la relation inerte
Mon intuition se retrouve seule à parler clair
Dans le noir où se terre la vérité muselée par les murs du non-dit.
Niala-Loisobleu – 2 Mars 2017

Il faut reconnaître que côté giboulées y a pas crise, en une seule journée on se fait les quat’saisons !
Merci Marguerite.
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Les tristes cires ont tort de s’enregistrer, le hit c’est flux tuant…
Merci Boris.
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C’est la clef qui devine où se trouve l’entrée de la serrure..
Merci Margot
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