
VIVE L’OLA
Quand le cou tordu tient la majeure partie de la place, il y a une carence évidente qu’il va falloir régler avant qu’il ne soit trop tard. Tellement de vide dans des heures pleines à avoir en vie le désir d’exister par l’échange effectif et spontané, que c’est pas la bonne voie de rencontrer une percée d’oubliette tenuepar des occupants de second rang. L’inculte à la culotte de ch’val qui déborde de l’ascèse, c’est juste bon à faire pourrir la paille. Je pense à une égocentrique, parfaite caricature de sentiments qui ferait de la pub pour la procréation. De quoi me donner le désir de me gratter les couilles par envie de soupe à l’oignon. Le minus qui ferait autorité c’est pas acceptable. Demain je cabane-déménagement, mes p’tits-gars en renfort pour hâler du lé au la. Vous avez dit l’ola ?
Niala-Loisobleu – 7 Mai 2018
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