CONTE JUSQU’A SANS
Effarouchée la branche s’incline au miroir d’eau remuée
la clef reste sous la cache du pot de taire
Sitôt le cri de la collision passée la route s’est cherchée sous le jaunissement de l’herbe
comme l’appareil écrasé qui repart des emparés
En pleine poitrine la façade cachée, en contant jusqu’à sans, n’a rien pour empêcher les fleurs bleues de pleurer aux pluches d’ô gnons…
Niala-Loisobleu – 23 Août 2018

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