Elle se glisse comme la pensée vierge
Viens avec moi. Le matin ne le saura jamais,
et dans la maison nulle lampe n’épiera ta beauté…
Ton parfum imprègne comme un printemps les oreillers :
le jour a mis tous mes rêves en pièces, –
tresses-en une couronne.
Rainer Maria Rilke
Tu n’es plus sous verre, le cadre s’est ouvert
je t’ai reconnue
en voyant entrer tes seins les premiers
J’ai faim de te commencer…
Niala-Loisobleu
1er Mars 2016

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