Du haut de la nuit
Jardin suspendu aux courbes d’un arc-en-ciel,
qui va cerf-volant
Au bout de ma ficelle vagabonde, libre, je vais vers une tolérance,
ouverte à nos mains jointes,
recoudre la déchirure de nos poitrines malmenées.
Je franchis les ronces cachées dans la transparence du simulacre.
Niala-Loisobleu 16 Octobre 2017
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