Germaine Montero & Marcel Van Thienen « La ralentie » (1957) d’ Henri Michaux


Germaine Montero & Marcel Van Thienen « La ralentie » (1957) d’ Henri Michaux

Entrant dans ton écran autre page, mors au dents et éperons qui bottent sans fanes, me voici quittant la margelle du bord des larmes,

appui de cette fenêtre sur le vide du mal au dos de l’attente.

Te laissant ralentie, la tête géranium rose bouffée par la rouille entre les miettes du roucoulement des pigeons agonis par une campagne de dératisation.

Il aurait suffit que le doigt tendu ne soit pas lu comme index mis. Mots magnifiques, une leçon de vie, que ses tessons n’arrêtent pas au franchissement du mur

Bon Jour Toi Espoir !!!

 

 

REFLEXION FAITE


16-1

REFLEXION FAITE

 

Laquelle des deux, pendante

toute la journée,

se serait de l’autre

(lèvre)

détournée la première et du cours général, si…

se filant l’haleine aux quatre coins d’un troupeau de moutons à dessein contraire à leur nature profonde, oui si…elle avait démaillée  ?

Sachant qu’un mérinos noir vaut deux brebis blanches, que la mine du crayon est au fil aplomb la roseur des lus nets et qu’un Petit Prince vaut tous les rois, dites combien d’heurs sont contenus dans un élan irrépressible capable de renverser les plus mauvais pronostics ?

Ben de vrais aucuns, de faux des tas !

La vitesse de mon coeur chaussé de palmes augmentant considérablement le braquet, on devra prendre en compte l’effet proportionnel causé par le courant, selon qu’on choisira de le descendre ou de le remonter, à la manière d’une franc-comtoise, munie d’un balancier différant de ceux que les indonésiens mettent à leurs prao, pour pêcher le corail qu’on chercherait en vain au rail d’Ouessant.

Ces pluies, ce vent, ces contradictions et luttes fratricides, tristesses dépressionnaires d’une période pré-électorale m’ayant gonflé un max, je pense avoir davantage à gagner en pratiquant un changement radical,

pour étayer le bleu dans sa verticale.

On ne refait pas le monde, on y fait sa vie à soi.

Qu’importe la provenance des faillites, plutôt qu’en faire la morale, je crois plus constructif d’en bloquer la contamination personnelle. Comment mieux tenir sa parole d’aimer qu’en y restant actif ?

A vivre la vie est !

Niala-Loisobleu – 11 Décembre 2016