
REFLEXION FAITE
Laquelle des deux, pendante
toute la journée,
se serait de l’autre
(lèvre)
détournée la première et du cours général, si…
se filant l’haleine aux quatre coins d’un troupeau de moutons à dessein contraire à leur nature profonde, oui si…elle avait démaillée ?
Sachant qu’un mérinos noir vaut deux brebis blanches, que la mine du crayon est au fil aplomb la roseur des lus nets et qu’un Petit Prince vaut tous les rois, dites combien d’heurs sont contenus dans un élan irrépressible capable de renverser les plus mauvais pronostics ?
Ben de vrais aucuns, de faux des tas !
La vitesse de mon coeur chaussé de palmes augmentant considérablement le braquet, on devra prendre en compte l’effet proportionnel causé par le courant, selon qu’on choisira de le descendre ou de le remonter, à la manière d’une franc-comtoise, munie d’un balancier différant de ceux que les indonésiens mettent à leurs prao, pour pêcher le corail qu’on chercherait en vain au rail d’Ouessant.
Ces pluies, ce vent, ces contradictions et luttes fratricides, tristesses dépressionnaires d’une période pré-électorale m’ayant gonflé un max, je pense avoir davantage à gagner en pratiquant un changement radical,
pour étayer le bleu dans sa verticale.
On ne refait pas le monde, on y fait sa vie à soi.
Qu’importe la provenance des faillites, plutôt qu’en faire la morale, je crois plus constructif d’en bloquer la contamination personnelle. Comment mieux tenir sa parole d’aimer qu’en y restant actif ?
A vivre la vie est !
Niala-Loisobleu – 11 Décembre 2016
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