L’EAU S’ETANT FAIT FEMME
L’écluse de tes yeux
ponton et embarcation
me sasse
Dans l’horloge d’une heure inutile
la lune s’en est enlevé le ressort
Tes viscères me garantissent l’exactitude
Aux arbres où ton tronc s’accroche
je mets un bras après l’autre mes demains à la rame…
Niala-Loisobleu – 22/08/18

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