HERBES FOLLES
Entre et crie le parfum, casse l’épine
j’étouffe le bruit d’avance de la pendule
sans toucher au retard mis dans la mort à paraître
En fosse poplitée à mains jointes
je plie le genou de te remonter au fond du nombril
risées de ton cou plus fauves qu’avant le taire brûlé de l’insulte faite au vivre
quelques menthes dans l’anneau de sa turne…
N-L/02/11/18

Vous devez être connecté pour poster un commentaire.