NON, NON DE NON
Salope de vie si t’aurais cru pouvoir m’planter tes chicots dans l’mollet pour m’ôter le pouvoir peindre, tu t’as gourrée m’aime en me mentant hé salope
Parce qu’en réfléchissant
le miroir
m’a dit :
Alain la fièvre d’aimer tu l’as toujours eu
sans rien ignorer de ce putain de monde de fourbes
Alors tu peux m’pirater l’inspire debout au ch’valet
espèce de sale gorgonne
j’m’assis au clavier et j’ouvre l’étui d’où que les danseuses de couleurs font moulin rouge, cabaret vert, les yeux noirs de colère après toi l’imposture
Ils ont les chats peaux rondes
les nénés des nanas
en intégral du bas
qu’à poils la pensée suit un redressement moins théorique que l’économie d’marcher au-delà de la morosité
Le violon et l’archet
sur la paume d’Adam
c’est’aut’chose que Tell est la situation
D’un coup d’rin
tu fais qu’un tout
comme si l’amour c’était qu’usage de deux chiens collés
Faute de pouvoir écrire sur l’a régné
c’est sur la toile, que je peins les pages tournées par l’encre levée.
NON, NON DE NON
J’restras pas muet de la création
collé au pied des stalles de la secte des Faux-Bâtisseurs
Niala-Loisobleu – 12/04/16

Vous devez être connecté pour poster un commentaire.