FENÊTRE SUR HORIZON
Ses cils entre une noire et une blanche, la ville rause ô ma fille nous garrotte
l’oeil d’y voir au bout des cordes de l’aqueux, lâchons l’enclos du ring
Sonne pas l’étroite foi
dis au facteur de s’abstenir et gratte-moi dans le do
Je demeurerai la
Piano forte
Les corps hauts d’une assemblée se constituent, la couleur attire sans traction… Mis dans le jute d’une toile à sac, chaque pièce se cherche. Du satin blanc s’est tissé spontanément, mots-dits-blues vous voici l’harmonique innocence formée à l’expérience de l’usage d’étreints déraillés aux aiguillages trop gavés. Le décor toujours suspendu aux cintres a mis la scène en travaux. Le souffleur est en chaume pour révision de sono chez l’orthophoniste. Il s’entraîne au Tai Chi dans le kiosque à musique. La partie secrète du jardin invite à se déchausser. Le lieu sacré a fait connaître son passage. Il ne pleut plus ,dis-moi quel est ton nom
Niala-Loisobleu – 04/02/18

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