
Il y a des cordes qui délient…
Tâches de soleil, tes lettres de voix dans la feuille blanche de mes oreilles écrivent
Et ne menthe que poivrés
Un maux implose dans les griffes de l’ongle incarnant le bon rôle
Les chiens jaunes ictèrent il était un foie qui s’y rose jamais
Le cheval dressé sur son choix sauvage se baigne la sous-ventrière debout dans le ciel d’une étoile de lin
Chien de rues dépassées que le chemin de soi caravane sourd à la voie du muezzin, l’hisse au regard d’un ciel libre d’aliénations
Gîtant quelque part au domicile fixe d’un espoir sans failles
injustice accablante
Il y a des cordes qui délient…
Niala-Loisobleu – 11/02/19
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