
L’ÎLE ABORDÉE (détail)
Là, sous le vent, mais sans manque de soleil, règne un engorgement d’émotions personnelles. Rassemblées. C’est tout en l’intérieur de moi que je peins en gardant la main-gauche dans la fonte du cheval. Avec le vélo, ils vont et viennent en dehors des grandes routes. Les petit-chemins mènent plus loin et vous font vous dépasser vous-mêmes. Les maisons d’un autre âge que j’ai croisé, étaient moussues et des immortelles étaient accrochées à leurs poutres. Une caresse sur la rampe de l’escalier menant aux étages de ton corps, ma Muse. C’est largement suffisant pour peindre dans mon cœur, sans se laisser prendre par des erreurs de mélanges dans l’usage de la couleur. Poser un glacis sur le fond ne modifie rien des louables intentions du moment. Mais ce n’est pas facile à faire quand les années s’accumulent et qu’il manque le voyage en cours.
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Niala-Loisobleu.
1er Avril 2025








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