
EMILIANO DI COVALCANTI
DE L’EPURE
Du papier froissé qui couvre le sol, la pierre extraite est bonne à monter la colonne
l’échafaudage est en place sur le tracé
Les planches sont en phase avec les tréteaux, le levier lui a trouvé la force des bras
aux joints des rangs de pierre, je lisse le doute des mains incertaines pour glisser le vitrail dans sa rosace et lâcher-prise aux premiers oiseaux
Sans la voir, je sens le mouvement de son corps trotter à l’amble de la nouvelle existence vers la Chambre d’Amour en chantier.
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Niala-Loisobleu.
16 Janvier 2024
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