
AUGUST MACKE
MARÉES A L’ÉTALE
Un phare dressé dans le noir, bande au bout la jetée assise en eaux dormantes, pendant que derrière la façade ça fraie comme avant que L’Etna bâillonne Pompéi
T’as l’bonjour d’Auguste, dit la petite écuyère, debout sur un changement de cheval au galop
Le soleil donne à ton corps du regain au rite naturel et ça frétille autrement mieux qu’entre les murs d’un élevage de saumons, claironne un sauvage échangiste
Pu de tatouage ni de grelots en ferraille aux arcades comme aux grandes lèvres, proscription du botox, tu restes Femme comme la nature l’a voulu
Forestière et giboyeuse
Cigognière nicheuse de hôte tension
Vivre sans regret, c’est la seule manière d’accepter de mourir sans y laisser sa fierté
apprends-ça à tes enfants les yeux dans les yeux, pas au téléphone
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Niala-Loisobleu.
16 Février 2025
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