
MATISSE
L’ODALISQUE ET LE MIROIR
Tain où on a mis le moucharabieh en filtre
les couleurs safranées d’un jour encore balbutiant
s’interrogent à l’entre-jambe d’une médina personnelle
Les fruits ont perdu la saveur des coussins répandus au sol
ce qui vibre peut-il encore venir du pincement de tes instruments
la danse du ventre, de tes seins
a disparu sous l’opaque mousseline d’un tant endormi
.
Niala-Loisobleu.
6 Février 2025
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