
L’ATELIER DU PEINTRE
Ma montgolfière Paris-Bastille sort de geôle pour un retour au Jardin des Plantes, où se mettre un oeillet à la boutonnière
Trenet chante La Mer sur un disque en cire et dans un coin de soupente l’araignée tisse une Epopée dans laquelle aucune mouche ne s’est fait prendre
Les jupes courtes laissent les majorettes tourner du bâton en même temps que leur petite culotte montre un désir naissant de racoler
Nous sommes passés de l’Epoque Coloniale à Antoine sans que Les Elucubrations empêchent la mode de l’épilation saccager nos déjeuners sur l’herbe
Commence une conception minimale de l’éducation physique et spirituelle
On a fermé les lupanars, mais je voudrais bien savoir où se loge une part de progrès et quelle libération morale le porno a créé sans parler des ni putes ni soumises interdites de chasteté
Sifredi m’était conté
Le pire a commencé avec le père de Mazarine en réformant le concept des Bergeries
La Place des Vosges m’a du coup rebondi dans les tripes, quand mon fils m’a fait découvrir dans le Gers à Noël, le modèle qui inspiré Henri IV pour la mettre à Paris
Quelles merveilles avons-nous su faire de nos mains, l’Intelligence Artificielle me désespère de voir des Macron et Consors prendre la succession. Les guerres ont déplacé la croyance des églises, Notre-Dame à mon sens ne peut devenir un jeu de dés de société
J’ai peint dès le 1er Janvier, mais demain je retournerai à l’Atelier pour défier la connerie sans ambition de changer le monde, juste de péréniser ce qui compte pour la poésie peinte
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Niala-Loisobleu.
3 Janvier 2025
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