EMETTRE SON SOLEIL COMME DU PEINT FRAIS


EMETTRE SON SOLEIL

COMME DU PEINT FRAIS

C’est si loin derrière moi, que devant ce vide, le besoin de tirer une santé, appelle le cheval à revenir au sillon

Alain Denèfle a engendré Niala, grâce à toi

Ô, Grand-Mère Marthe es-tu là ?

Ton Petit-Peintre, vomit le naufrage comme tu le lui a appris

Ai-je eu tort ou raison d’aimer l’impossible en déshabillant la distance ?

D’insérer tant de chair dans l’absence, que les blés des jachères ont pris la pluie pour en faire des rivières navigables

Des faucheuses ont bien tenté de tondre les planches, mais sans plus savoir où était passée l’île, j’ai nagé à travers les nuages

Il faut juste éviter de suivre l’appel des Méduses au passage ? disait Ulysse

voilà ce que marque la bonne carte. Je vais m’asseoir sur cette borne le tant qui reste

Apercevoir du nouveau sur l’usé du pouvoir ça n’appartient qu’à soi

ma façon d’aimer est si loin du contradictoire, qu’en plein hiver, elle est capable de se mettre en ménage avec l’éternel printemps

les doctrines des sectes dites de fraternité, sont des Mélusines de trottoir, là que pour racoler

Cherche la porte par où fuir la rue St-Denis , ce coin d’abattage de la Beauté, Notre-Dame porte une virginité au départ que l’Insoumis ignore et qui retrouvera son image sans miroir aux alouettes

Sans sales, je peux continuer à exposer.

.

Niala-Loisobleu.

8 Décembre 2024