C’est bien là que le sommet des mots, est à sa place, les fourmis montrent par leur nombre, qu’ici l’herbe est un assemblage et non chant de foire
Le silence prend la forme d’un esprit entier, sans avoir à s’exprimer de façon carrée
j’en palpe le relief si différent de ces mornes plaines, où même un arbre est jugé exigeant
L’auto-portait vient d’être touché par ton code, Ma, l’information est entrée au chevalet, comme ce qui procède de l’instinct animal
J’hume le dehors pour oxygéner mes jambes, le tour du vendredi hors de la Chaume pour faire le plein
Ton coudrier greffé à cet ailleurs où te trouver dans ce mystère, sans vouloir le déflorer, bien au contraire
Rien d’étonnant à ce que l’ultra-son parvienne en clair au large de la baleine…
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Niala-Loisobleu.
29 Novembre 2024

NIALA OEUVRE EN COURS
❤
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On pensait que la mer n’avait plus de côte, les mots forts de ton poème sont le message de la baleine qui indique le cap à prendre.
Merci, Ma, je t’embrasse à bout portant.
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