
L’ HERBIER COMME UN CHIEN
L’arrondi des collines où vient se joindre la tuile qui étire les maisons dans la supervision des vagues, trottine à mes côtés
une ligne eucalyptus tord son bois
je peins comme ce chien que je sens vivre en moi
A cet endroit il me semble être débarrassé de l’attente qui cumule
Après-moi ça sert à quoi ?
La lumière d’aujourd’hui déborde de la cage à caresser l’au-delà…
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Niala-Loisobleu.
19 Mars 2024
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