L’HERBIER COMME UN CHIEN


L’ HERBIER COMME UN CHIEN

L’arrondi des collines où vient se joindre la tuile qui étire les maisons dans la supervision des vagues, trottine à mes côtés

une ligne eucalyptus tord son bois

je peins comme ce chien que je sens vivre en moi

A cet endroit il me semble être débarrassé de l’attente qui cumule

Après-moi ça sert à quoi ?

La lumière d’aujourd’hui déborde de la cage à caresser l’au-delà…

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Niala-Loisobleu.

19 Mars 2024

DE FACE


DE FACE

La douleur du dos avec laquelle je me lève sans consentement doit accepter l’arrivée du printemps sans mettre de conditions à l’envie de jardiner la toile qui me monte à la main gauche

Mes fleurs comme conductrices, c’est mon choix d’attelage

Le nez au plus profond de l’herbe ouvre-toi grande verte campagne !

Niala-Loisobleu.

19 Mars 2024