La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
L’enseigne du « BON COIN » s’est barrée, emportée au loin par un vent qui a perdu tout contrôle. Tout ce qui pourrait avoir un reste de foi cherche un endroit où l’abriter. Attendre, toujours attendre, en ne voyant rien venir, que tu sois marin, paysan et pire, amoureux se ronge dans les rafales qui balaient le courage d’y croire. Dans son jeu, l’oie n’amuse plus. On tue sans que ça gêne en avançant la raison débarrassée de tous scrupules.
Le mépris infligé à toute existence qui refuse d’être exécutée et résiste, me fait douter de détournement de l’Affiche Rouge déplacardée pour se refaire une santé.
Panthéon où Pantomine, qui peut me dire le véritable nom qu’il faut retenir ?
Comment est-il possible de croire à l’usage d’objet-volé en vendant constamment à son compte la sincérité d’autres, étrangers à toute magouille, sans ressentir un doute ?..
Portes de nouveau ouvertes, l’Atelier remplit ses cales du retour de 2 expos (1ratée et l’autre formidablement réussie)
L’expo fantôme de la Ville de Cognac veut sortir du silence pour dire vous pouvez venir me voir à Boutiers-St-Trojan, j’accueille nu comme la vérité, sans flatterie déplacée
accompagné de Jacqueline
prêts à montrer en quoi nous sommes décidés après le succés de Châteaubernard
Je peins en chantant à l’idée de vous retrouver, VOUS qui gardez l’espoir de vivre sans tricher en sachant de quoi la vie veut parler en faisant sans promettre….
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.