La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
(Traduction) Quelque chose m’a dit que c’était fini, bébé, ouais Quand je t’ai vu Quand je t’ai vu toi et cette fille Et vous parliez tous Quelque chose au fond Quelque chose au plus profond de mon âme a dit « Vas-y, vas-y et pleure, ma fille » Quand je t’ai vu, quand je t’ai vu avec cette même personne Et vous vous promeniez Et je préfère Je préfère être une fille aveugle, bébé, ouais, ouais Que de te voir t’éloigner, t’éloigner de moi, bébé Ne me quitte pas, je ne veux pas te voir partir Parce que tu vois, je t’aime tellement Et je ne veux pas te voir me quitter Je ne veux pas te voir me quitter, bébé Et une autre chose est, une autre chose est Je ne veux pas, je ne veux pas être libre Peur d’être tout seul J’étais juste, j’étais juste assis ici à penser À propos de ton doux baiser et de ton, ton étreinte chaleureuse Hmm, ta chaleureuse étreinte Hmm, yo, yo, chaleureuse, chaleureuse étreinte Quand je baisse les yeux dans le verre que je porte à mes lèvres Et j’ai vu le reflet des larmes couler sur mon visage C’est alors que j’ai su que je t’aimais et que je ne pourrais pas me passer de toi Et je préfère être une fille aveugle Bébé, bébé, bébé, bébé, bébé Bébé, bébé, bébé, non, bébé, oh, oh Oh bébé Toute la journée assis Assis en pensant à vous Moi-même, je ne veux pas te voir partir S’il vous plaît ne partez pas Oh, bébé, non, bébé, oh, bébé Je préfère être une fille aveugle Quelque chose m’a dit que c’était fini, bébé Quand je t’ai vu Quand je t’ai vu toi et cette fille Et vous parliez tous Quelque chose au plus profond de mon âme a dit « Vas-y, vas-y et pleure, ma fille » Quand je t’ai vu, quand je t’ai vu toi et cette fille Et vous marchiez tous Et je préfère devenir aveugle, je préfère devenir aveugle Je préfère devenir aveugle, bébé Que de te voir partir, partir Ne pars pas parce que je préfère devenir aveugle
A voir les traits moussements de la mule, il ne fait aucun doute qu’elle baigne dans l’écume du bon choix
elle réaperçoit le Pic du Midi qui dépasse la Beauce et la Brie de ses problèmes de blé, seul souci du spéculateur , que le naufrage du climat n’arrête en rien
Le Peintre redresse la barre a tenir la gîte, loft pour loft, au point de se sentir des tentations de route du r’Homme
Les seins de sa figure de proue éperonnent le premier naufrageur qui se risque à agiter sa lanterne dans les passages à récifs
Quant aux sirènes qui se repoudrent dans la fonte des glaces, il les canote en vitrine à Amsterdam refaire l’étalage sous la direction de Brel
Du coup on voit naître des envies de bronzer dans cette journée radieuse qui frôle la gelée, laissant le coq du marchand de frites se pavaner sur le parking où les car se relaient à redonner l’espoir…
Jetant le chargement de la mule au précipice, il tire du miroir les redondances d’un tant maussade pour changer l’image de son paysage personnel et franchir le col à la manière d’un Annibal décidé à en sortir quoi qu’on puisse en penser et en dire
Ayant laissé son dos dormir au-delà du temps habituel, ses jambes s’étaient dirigées vers un concept qu’il avait sculpté tout seul pour vivre selon sa manière. Être dans l’idée de sa peau quand on craint que la lèpre ne survienne, ça lui parut plus fort qu’un vaccin et surtout moins illusoire qu’un masque contre la vérité qu’on refuse de voir
Ses épaules lui recarrurent un nouveau point de départ
Mon illusion se dit-il serait de vouloir attendre que mon intime conviction attende un autre agrément que celui de mes organes
L’autre pluie cessa d’un coup
A l’écope du vouloir il vira les reptiles du bassin rachidien, donnant au bulbe un nerf nouveau qui fit tomber des façades les rides des idées halloween et les complexes des psychoses qui retiennent les appareillages. Il enfourche son cheval, comme on ne retient pas une érection que la pensée naturelle et saine pour ce qu’il ressent d’une personne poétise , lâche sur orbite. Dans son univers amoureux les bateaux ont des voiles faites pour avancer, pas pour cacher. En premier il jette les moines et leurs habits.Être surréaliste comme à la naissance, à poil
Il prend son billet d’aller-simple pour ne pas revenir et tisser le parcours genre son odyssée et décroche les volets, les rideaux, les clôtures avant de sortir des jours de merde !
À la pointe nue de l’averse il y a mon amour Elle est plus belle que l’averse et que l’eau sur la terre Vient le vent nu sur son cheval et il la trouve belle
Le vent lui jette son filet, il se baisse et lui parle Le vent l’emmène dans sa nuit, il la veut pour sa femme De toute la blancheur des nuits, mon amour est plus blanche
Le vent la met dans le matin entre le gris et l’herbe Au devant du matin debout, mon amour est plus belle Plus belle d’herbe et d’eau souillée, la nuit dans son regard
Le vent s’en va. Pour mon amour les soleils vont se battre
Dans le silence de ses réponses elle sut que l’empressement rencontré n’était feint que par réaction hormonale qui préfère cacher que dire que la nature peut être ainsi faite
La voie au contact de cet aiguillage bifurque assurément quoique en pensent les vaches au pré sur le passage
La vraie tendance reste finalement le paradoxe du plaisir caché trouvé à n’en rien avouer.
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